capture 03Mohammed Tawfik MOULINE, Directeur Général de l'Institut Royal des Etudes Stratégiques
18 août 2014
Analyses et points de vue

Richesse globale, niveau de bien-être ou degré de bonheur. Voici des concepts qui ont l’air, de prime abord, abstraits et purement théoriques. Seulement voilà, c’est vers ces critères de mesure et de comparaison, que se dirigent les différents organismes internationaux de référence tels que les Nations Unies, l’OCDE ou la Banque mondiale. Après le dernier discours du trône, le Maroc a fait le choix d’adopter la démarche de la Banque mondiale, celle de richesse globale, qui introduit le concept de capital immatériel. Sur le sujet, notre invité, aux avant-postes des études stratégiques sur le Maroc de demain, est aussi confiant qu’intarissable. «Avec une proportion de 78% de capital immatériel, le Maroc fait quasiment partie des pays développés, dont la proportion dépasse les 80%», insiste Tawfik Mouline, directeur général de l’Institut royal des études stratégiques (IRES), qui prend part à la réflexion autour de cette «révolution statistique» depuis ses débuts.

 

 

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